Qu’en est-il de cette limite du perceptible, du
visible, de l’apparent dans l’incarnation humaine ? Présence au monde
effacée, trouble, à peine visible ou envahissante et glorieuse.
Permanence étonnement forte des absents et parfois imperceptible des
êtres que nous côtoyons.
Que faut il de chaos, de renoncement et de triomphe pour simplement
être là ?
Les origines du corps et sa mémoire, son désordre, ses enchevêtrements,
sa victoire sur la matière.